On note deux types de réactions, diamétralement opposées, devant cette photo d’un hangar suisse où séchaient cette semaine plusieurs milliers d’ouvrages, exposés à un incendie puis inondés par les pompiers. Certains bibliophiles y voient un genre de cimetière, où les reliures détrempées s’aligneraient à leurs yeux comme autant de pierres tombales. Tandis que d’autres amoureux des livres y voient, au contraire, un champ de pages se déployant comme des fleurs au soleil, enfin libérées de leurs couvertures et de leurs rayonnages, toutes bruissantes du murmure qu’elles échangent entre elles. Alors, un désastre, ou un poème ? votre avis en commentaire...
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« Celui qui prend des risques peut perdre, celui qui n'en prend pas perd toujours » Xavier Tartacover, grand maître international d'échecs (1887-1956)
Ou une vision d'urbaniste...
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